Mercredi 8 septembre 3 08 /09 /Sep 08:39

spotshowNJ89

 

Laurence est assise dans la salle de réunion terminant d'écrire sur son ordinateur portable un rapport sue je devrais porter à la poste lorsque j'aurai terminer mon ménage.

J'ai fermé la porte du bureau pour atténuer le son de l'aspirateur que je suis entrain de passer.

- Alain !

Je coupe l'aspirateur

- Oui...

- Je voudrais te parler...

Je n'ai jamais aimé ce sentiment; impression étrange. J'ai chaque fois l'impression que j'ai fais quelque chose qu'il ne fallait pas, de ne pas me sentir à la hauteur des attentes. Il y dans mon masocjisme ce besoin de me dévaloriser, d'être cette personne subalterne qui n'existe que pour valoriser ceux qui m'offre leurs confiances....

Je n'existe que pour cela...

Laurence en tailleur de cocktail mauve clair referma son ordinateur comme pour me montrer que son travail aujourd'hui ne me concernait pas.

- Je voulais que l'on ai une petite discussion avant que je parte.

J'ai frémis.

- J'avoue ma perplexité dit-elle d'une voix égale sans qu'elle me dise de m'asseoir.

Je restais silencieux, le ventre noué. Je venais de m'apercevoir que je n'avais pas retirer mon tablier blanc. Cela ne semblait nullement géner Laurence.

Elle me regarda :

- Tu n'es pas fatigué d'être mon toutou ?

J'ai tremblé comme une feuille morte. Une claque. Je ne savais que dire moi qui m'étais installer dans cette tendre servitude. Laurence ne me quitta pas des yeux, croisa soigneusement ses mains sur le couvercle de l'ordinateur...

- Je ne dis pas que cela me dérange ! Je veux savoir pourquoi tu as accepté si facilement d'être à ma disposition... T'humilier de cette façon au regard des autres... Je ne croyais pas sincèrement Alain que le test allait te mener aussi loin...

(Silence)

Je ne savais répondre.

Laurence croisa doucement ses jambes, la soie de ses bas firent un bruit précieux.

- Je crois dis-je...

- Tu crois toujours... Tu n'es jamais sur !

- Si naturellement...

- Alors !

Je baissais les yeux, mal à l'aise. J'aime être dans l'ombre ne pas exister dans la lumière... J'ai cette trop forte impression de ne pas être à ma place. Et aussi étrange que cela paraisse, les tests comme le dit Laurence, aurait pus chez beaucoup être rejeté. Ma fonction de "boy" me plu tout de suite, comme une sorte de libération, une reconnaissance aux yeux de Laurence de ma personne.

- C'est... C'est ma façon de te dire mon... mon amour

- Ah !

Silence. Je crois que mon aveux m'a fait rougir.

- Cette dépendance te rend heureux ?

- Oui ! Dis-je sans hésitation.

Laurence souria.

- Voilà quelque chose qui vient droit du coeur.

Nouveau silence. Laurence r'ouvrit l'ordinateur portable alors que je restais immobile. Sensation étrange que d'avouer ainsi sa servitude comme amour. J'avais brusquement l'impression qu'une partie fictive de la glace était rompue. Que peut-être que Laurence allait m'accueillir pour ce que j'étais devenu pour elle.

J'entendis l'imprimante se mettre en marche.

- Apporte moi le rapport.

En silence je me suis exécuté.

Laurence feuilleta en silence le texte, verrifia la pagination, la mise en page puis me le redonna.

- Agraphe le et mets le sous pli...

Je me suis executer en silence. Laissant le pli sur le bureau de Laurence et reprenant mon ménage avec un peu plus d'attention. C'était devenu important pour moi ce besoin de satisfaire Laurence, comme une philosophie de vie, comme-ci garce à ses baisers on avait révélé en moi ma vraie nature.

Alors que je rangeais sougneusement l'aspirateur Laurence, ortable à l'oreille, regarda sa montre.

- Non ! je suis navrée un petit retard, naturellement que vous pouvez comptez sur moi... Oui, j'arriverai en taxi d'ici... (Laurence regarda une nouvelle fois sa montre) 20 minutes (rire)... Naturellement. A tout de suite, merci.

Le clapet de portable résonna alors que je terminais de fermer la porte de rangement.

- Je crois qu'il y a une station de taxi sur l'avenue...

Je souriais en retirant mon tablier de valet.

- J'y vais dis-je simplement.

Je me sentais revivre.

Le taxi arriva dans les minutes qui suivirent et Laurence pu être à l'heure à son rendez-vous, quand à moi je me suis dirigé vers la poste.

Avant de partir Laurence, son trench en soie souple sur les épaule me regarda.

- Nous sommes d'accord qu'il n'est nullement question que nous ayons des rapports sexuels.

Une nouvelle fois j'ai rougi comme un enfant.

- Que la seule façon pour toi de "m'aimer" est de me satisfaire comme valet ?

Le terme valet me remplit de joie. Une reconnaissance...

- Naturelement dis-je doucement...

 

 

-

 

 

 

 

 

Par laorans
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