Lundi 11 octobre 1 11 /10 /Oct 09:57

 

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Je ne suis pas un danseur mondain. Encore moins une personne à l'élégance du langage, je me refuse aujourd'hui d'être autre chose pour Laurence qu'un valet. Cette décision a été prise, longuement murie. Pour lui avoir avouée mon désire de devenir son domestique...

Il est difficile de reconnaitre le désir d'humiliation sociale comme seul vécu. Et tant pis pour moi, pour mon petit confort personnel, pour cette sentation d'être aux regard des autres rien d'autre qu'un petit toutou, qu'un médiocre qui n'a aucune volonté... Je sais que les baisers de Laurence m'ont rendu sans volonté autre, que de me sentir son eslave... 

Mais je me refuse à lui faire porter cette personne que je suis devenu. 

Je me refuse encore à imposer ma personne au delà de mon service à offrir à Madame. Oui je me sais aujourd'hui proche de Grégoire le valet de de "la venus à la fourrure".  Je connais les mùoquerie de Christine. Qui d'autre dans mon dos sait ma dévotion pour Laurence.

Il me semble diffcile aujourd'hui de pouvoir suivre plusieurs chevaux en même temps, être attaché de presse et l'homme à tout faire de Laurence. Je dois choisir entre continuer à être dans la lumière età me pavaner ou alors accepter la soumission offerte par Laurence.

Hier matin alors que je faisais le ménage des bureaux de Laurence, celle-ci est arrivée comme un coup de vent. Heureuse de son excitation professionnelle. Elle jeta son mateau de cuir que je ratrappais en le pliant.

- J'espère que tu n'a rien prévu ce matin... Cela me contrarirait...

Je n'ai pas oser dire le contraire, j'allais me faire porter pour malade.

- Non dis-je.

Elle souria simplement. Alors que je revenais avec son café. Laurence s'était installée à son bureau; Cela matin elle portait un tailleur noir strict et chemisier vert.

- Je ne te demande pas d'être présent mais être à ma disposition... J'aurai certainement besoin de toi dans la matinée.

Ce fut tout.

- Alain...

Je me suis retourné, parfaitement dressé.

- Concentre toi sur la salle de conférence...

J'ai souris simplement.

Il me faudra une heure de ménage pour satisfaire la demande de Laurence, puis je suis partie acheter des petites viennoiseries et enfin préparé le café. 

Je me sentais disponible. Laurence le savait. J'attendais qu'elle profite de ma servitude entendue.

Elle regarda sa montre, souria.

Avec un sourire elle me dit.

- Déguerpis, je ne veuxpas  t'avoir pour l'instant dans mes pattes...

J'allais partir.

- Reste dans les parages... On ne sait jamais...

- Naturellement dis-je simplement, comme soulagé d'être encore disponible à ses yeux.

Mais rien, Laurence n'eu pas besoin de moi et je me morfondais dans le petite restaurant de la rue Daguerre, proche des bureaux de Laurence.  Elle sortie de ses bureaux avec un couple. Légère, heureuse.

Elle me chercha du regard, je sortie.

- J'arrive-t-elle a ses invités.

Nous avons fait la moitié du chemin et de sa main ganté me donna les clef.

- Il y a du ménage à faire et regarde les toilettes, j'ai peur qu'elle soient bouchés... Ne m'attends pas.

Elle se retourna pour emboiter le pas du jeune couple.

Je n'ai entendu.

- C'est homme de ménage...

J'ne étais fier.

 

 

 

 

 

Par laorans
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Vendredi 8 octobre 5 08 /10 /Oct 08:29

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Laurence m'a confié l'entretien journalier de ses bureaux.

Je me sens flaté d'être devenu son homme de ménage et tout les matin avant d'aller à la DGA je viens faire le ménage de la salle de réunion, de son bureau, faire la petite vaisselle et voir si Laurence n'a pas laissé un message pour les courses...

J'aime ce sentiment aujourd'hui de me sentir disponible et de n'être que son "homme à tout faire".... Je sais qu'il est loin encore le moment ou je serai à son entière dispostion comme domestique. Cette sensation je la désire aujourd'hui quitte à me mettre en porte à feau avec ma vie entérieur...

En fait ce matin alors que je termine de faire le café je pense à cette première fois ou réellement Laurence m'a concidéré comme son valet.

Laurence était encore dans notre entreprise. Ce jour là je courrais partout pour satisfaire les besoins de Laurence (déjà) - Laurence préparait une fête. Il manquait toujours quelque chose sur la liste;

Quand oserais-je appeler Laurence MADAME ? Ce terme me brule les lèvres. N'est-ce pas un signe de reconnaissance de soumission à son égard ? Une reconnaissance de son pouvoir sur moi ?

La grande salle de réunion du troisième était prète à recevoir les invité d'ici une heure.

Laurence rayonnant était satisfaite. Elle se retourna vers moi, sourire.

- Je suppose que tu comprendras très bien pourquoi je ne t'invite pas ?

Sur le coup cela me fit un choc d'être ainsi laissé au bort de la route. Puis je compris ce que j'étais devenu réellement aux yeux de Laurence.

C'est important cette sensation de première fois ou l'on vous dit ce que vous êtes devenu.

Un boy.

- Naturellement...

- Cela n'a rien avoir avec notre relation mais je n'ai pas l'habitude de mélanger les serviettes avec les torchons...

J'ai souris simplement, oui je comprenais.

Pour cette journée Laurence portait un ensemble noir dont la chemise de satin, fluide, la rendait majestueuse. Pour la première également je l'ai vu porter une cravate d'homme au neud impeccablement réalisé..

J'allais prendre congé.

- Alain

- Oui dis-je avec empressement

- Tu ne pars pas tout de suite ?

Je ne comprenais pas la question

- Je t'appelerai pour le ménage... Demain matin, je crois qu'il y a une réunion

J'ai marqué une pose.

- Tu ne voudrais pas que je passe pour une souillon ?

- Non, naturellement...

- Donc nous sommes d'accord.

J'ai attendu 19H30 pour recevoir l'appel de Laurence. Comme à chaque fois sa voix me transportait. J'étais heureux simplement de l'entendre me donner un ordre.

- Tu peux monter.

Il me fallu plus d'une heure dans ma solitude pour rendre prproe la salle. Pendant mon ménage j'imaginais Laurence rayonnante dans la fête. Un échange peut-être avec Christine que Laurence ne manquerait certainement pas de prendre à l'écart.

- Tu as réussià le dresse aurait dit Christine avant d'ajouter, Est-ce qu'il te mange dans la main ?

Et Laurence tout sourire

- Si peu...

Peut-être d'ailleurs que ce dialogue n'a jamais existé. Peu importe d'ailleurs...

Je me retrouvais le lendemain matin de bon heure à prépraer le café au secrétariat de la direction...

 

Oui je pense à cela lorsque je retire ma blouse pour retourner à la DGA.

Laurence me manque et de ne plus la servir au bureau aussi. Même si je viens d'une façon régulière au bureau, seul moment réel où je me sens réellement à ma place... Les journées sont longues à attendre le bon vouloir de Madame.

 

Par laorans
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Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 15:02

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C'est peut-être osé ?

Je ne sais pas. J'ai l'impression que cette position me convient. Ne rappelle-t-elle pas celle des laquais immobile aux portes uniquement là pour ouvrir ou fermer les portes, aux valets de pieds qui proposait leur dos à leurs Maîtresse pour monter dans le carosse.

Pour moi c'est tout cela un valet.

Encore aujourd'hui, dans le naturel de servir. Je pense à cela lorsque le téléphone du bureau sonne sous le regard de Christine.

J'ai apris à ne pas réagir, j'étais à la disposition de Laurence, je devais maintenant  ne penser qu'à cela sans autre forme de reconnaissance, ignorant ses moqueries pour renforcer ma fonction.

Je reconnu sa voix, la voix de ma Maîtresse. Je me suis tout de suite radoucit, je me sentais heureux comme un enfant.

- Je suis navrée pour ta soirée, mais j'aurai besoin de toi. 

Il fallait que je prévienne Martine, lui offrir une excuse.

Christine ne me quittait pas du regard.

- Penses-tu sincèrement que tu ne vaux pas mieux que cela ?

J'ai longuement réfléchi.

Maladroitement j'ai répondu.

- En fait je ne crois pas... J'ai enfinl'impression d'être à ma place... Je ne sais comment te dire mais....

Elle me regarda calmement.

- Et si elle te demande de lêcher le parquet ?

- Je le ferai.

- Comment veux-tu qu'aujourd'hui je puisse te respecter... Tu n'es rien d'autre qu'un médiocre, sans volonté, tu me déçois...

Je la regardais, mais je pensais à Laurence et aux ordres à exécuté. J'étais dépendant.

- Excuse moi... Il faut que j'y aille.

-Alain.

Je me suis retourné.

- J'espère que tu aura le temps de nettoyer mon bureau...

Je la fixais, baissa les yeux avant d'avouer

- Je n'ai qu'une Maîtresse et...

Christine me regarda avec dégout.

- Tu n'es qu'une pauvre merde...

Je baissais les yeux une nouvelle fois.

- Tu as peut-être raison, je crois que je m'enfonce... Mais j'ai l'impression que cette sensation me fais du bien, comme ci au fond je n'attendais que cela...

Christine me regarda avec de grand yeux...

- Tu penses sincèrement ce que tu dis ?

- Oui dis-je dans un souffle.

Elle me regarda avec dégout, je n'étais plus rien à ses yeux. Je m'en moquais, l'important était qu'aux yeux de Laurence je garde toute sa confiance. Comment dire à Laurence que j'avais trouvé chez elle l'envie réel de devenir son esclave ?

La servir comme un laquet, l'habiller dormir à la porte de sa chambre si elle le désirait ou attendre immobile qu'elle me sonne pour la servir...

Un etyle de vie qu'aujourd'hui je ne pouvais plus ignorer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 09:46

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Ma soumission passe par plusieurs étapes.

Et le travestissement en est une. Porter les attribues d'une bonne pour servir une maitresse professionnelle.

Je me souviens que Madame (Laurence) un jour en voyant la devanture du "Dé d'Or" (envoyé par internet), boutique spécialisée dans les uniformes avait jugé au téléphone que même un valet pouvait après ajustement porter une tenue de bonne.

Découvrir de part cet agencement, la part féminine qui est en moi, une fonction totalement dépendant de la fonction. Etrange sentiment de revêtir les attributs féminins 

Montrer qu'être une bonne ou un valet c'est avant tout au regard des autres, le port d'une tenue spécifique, une position sinon servile au moins d'effacement pour en se mettant en avant. Il est alors difficile de se reconnaitre ainsi portant une jue noire droite, un chemisier blanc, bas foncé, tablier et coiffe blanche.  

Et oeuvrer comme une bonne.

J'ai fais plusieurs expériences de ce type et j'avoue que cette part féminine me sert aujourd'hui dans ma fonction de domestique.

Je regrette encore parfois de ne pas me sentir si féminin pour porter à nouveau ma tenue de bonne et de répondre au prénom de Louise. Etre domestique n'est pas un métier c'est une forme de vie ou la domination prend tout son sens. On a l'impression que la servitude n'a pas de sexe, le male ou la femelle peut-être interchangeable à demande. Que le Maître ou la Maîtresse de par leurs pouvoirs sont propriétaire de leurs domesticités. 

J'ai eu peur c'est vrai de ce changement d'identité corporelle, de me retrouver femme aux regard de la Maîtresse qui m'acceuillait. Il n'était pas question de me travestir (perruque et maquillage) mais bien de me faire sentir ma féminité et de me comporter comme tel.

Le chemisier blanc et la jupe noire à suffit. Une fois noué le tablier blanc et mis la coiffe, je savais se que j'étais devenu. Le plus étonnant dans mes fantasmes, dans mes peurs était d'être ainsi vu, mal dégrossit. Mais non, autre leçon à retenir, même si sur le coup on vous dévisage avec moquerie, que l'on vous frôle les fesses, très vite vous n'existez plus que pour le service. Sentiment d'apaisement.

Alors il arrive qu'avoir ou de découvrir des gestes fémininins comme rectifier le noeud de son talbier, ajuster le col de son chemisier, vérifier l'état de sa jupe...

 

 

Par laorans
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Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 08:43

 

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Il ne suffit de dire "je désire devenir ton serviteur" pour être accepté comme domestique.

Plusieurs fois déjà j'ai avoué à demi mot cette possibilité d'offrir à Laurence ma servitude. Mais jusqu'à maintenant, je me savais ne pas être à la hauteur psychologique.

Ce n'est pas la première fois que j'annonçais à Laurence ce désir secret de la servir, ou du moins être a sa disposition comme un boy.

Avant déjà, avant que le déclic se fasse aux regard de Laurence, je me sentais "larbin", simplement parce que j'avais lu cet extraordinaire roman "La vénus à la fourrure" de Sacher Masoch et qu'insconciemment je me suis identifié à Grégoire dans la servitude qu'il offrait comme amour à Wanda (la vénus à la fourrure).

Oui, je ressemble à Grégoire dans mon cheminement masochiste.

Mais à la différence du personnage j'ai plus de difficulté à être "larbin". A accepter pleinement, sans autre forme de vie cette fonction. Il m'a fallu du temps pour accepter pleinement cette soumission psychologique. M'apercevoir que réellement ma nature est celle du valet dévoué et discret qui accepte dans l'humiliation voulu de n'être qu'un domestique pour se sentir heureux d'être auprès de cette femme l'a enflammé.

Combien de jours faudra-t-il que j'attende encore pour me sentir pleinement à ma place ?

Vivre selon les besoins de Laurence, oublier ma vie de petit marquis.

Je désire n'être que cela. Même si, je le sais pour l'avoir expérienter passer pour un faible, un médiocre aux yeux de autres, me savoir domestique et voilà que le statut de l'amitié change... Peut importe, je le sais, j'aime cette humiliation qu'i m'impose a être ce que je désire devenir, sans possible marche arrière.

Il ne le faut pas.

La seule importance, est Madame et son environnement, je n'existe que pour le satisfaire.

Un esclave porte un collier et une laisse .

Moi, je porterai la livrée de valet.

Une dépendance entière et voulu. Comment peut-il en être autrement ?

Une dépendance pour servir Madame, une dépendance entière et voulu, sans rien en retour autre qu'apprendre à vivre comme un domestique, découvrir et accepter le mental d'un serviteur...

 

 

 

 

 

Par laorans
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Mercredi 29 septembre 3 29 /09 /Sep 14:24

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Depuis deux jours Laurence n'a pas fait appel à ma personne. J'ai l'impression d'abandon, de ne plus exister. Je comprends, enfin j'essaie de comprendre que pour Laurence je ne suis rien, rien qu'une sorte de pantin que l'on utilise lorsque l'on en a besoin. 

Il ne faut pas que je me cache les yeux, je suis cela aujourd'hui et ce n'est pas le regard moqueur de Christine au bureau qui changera mes idées sur ma vie auprès de Laurence.

- Plus d'appel ?

Je n'ai rien dit. Je prenais cela comme une sorte d'épreuve. Oui, c'est cela une épreuve que Laurence m'imposait pour savoir si je tenais le coup, si je pouvais être à la hauteur de attentes, si au fond, je n'allais pas la trahir§ Je pense toujours qu'un bon valet est celui qui n'existe que lorsque l'on a besoin de lui. Il faut que je me forge à cette idée que je suis devenu le valet de Laurence.

- Cela te manque de ne pas courrir au claquement de doigt... Me demanda dans un sourir moqueur Christine alors que nous terminions ensemble de préparer un dossier de presse.

Je la regardais en silence.

- Oui dis-je enfin.

Christine s'arrêta, me fixa.

- Réellement ?

Je n'ai rien dit, mais c'était tout comme.

Brusquement le téléphone. J'ai sursauté, mon visage s'est éclairé. Je pensais très fort au désire d'entendre la voix de Laurence. Ma déception fut plus grande encore, il s'agissait du 4e étage, une phot à aller chercher pour le dossier.

Christine se retourna alors que j'allais sortir.

- Elle te sifflera bien un jour...

J'espère dis-je en moi même... Je le désire tant.

Ce n'est que la semaine suivant qu'une coup de fil liberateur me rappela que j'avais eu raison d'espéré.

- Laurence...

- Oui dis-je ému...

- J'ai besoin de toi.

- Tout de suite dis-je sans réflechir.

(silence)

- Allo...

- Sinon pourquoi je t'appelerai ?

J'ai raccroché en silence alors que Christine arrivait.

- Alors le toutou à sa mèmère a retrouvé sa maitresse.

Comment dire que cela était devenu vital pour moi, que je me sentais comme attirer par les ordres. il y avait maintenant ce besoin d'être au service de Laurence comme un véritable domestique. Mais comment lui dire ce besoin de la servir , Accepterait-elle ?

J'ai l'impression de n'exister que pour cela aujourd'hui

A peine un quart d'heure plus tard je me retrouve à son bureau.

Debout assise sur le coin de son bureau en jean's en cuir beige et pull angora de même ton, elle téléphone. En me voyant Laurence me montre du doigt la cafetière. Je comprend que je dois préparer son cfé. Suis-je venu pour cela ? Et même.

Laurence raccrocha alors que je lui apportais son café.

- Quelque chose ne vas pas Alain ?

J'ai baisser les yeux et doucement, machinallement, j'ai pris la main libre de Laurence pour y déposer un court baiser et lui dire, les yeux baisser.

- Je désire devenir ton domestique.

Un geste auquel je ne m'attendait pas. Elle me caressa le visage.

- Sans restriction ?

- aucune dis-je enfin.

- Je ne supporte aucun enfantillage...

- Naturellement dis-je.

En silence Laurence bu son café puis me donna la tasse avant de se rasseoir à son bureau

- J'estime être juste avec ma domesticité et j'attends donc de toi une dévotion à ma personne...

- Oh oui dis-je dans un élan.

Laurence souria en me fixant.

- J'en suis sur.

Puis m'indiquant d'un geste bref la cuisine.

- Il y a de la vaisselle à faire...

Comment pouvais-je expliquer que j'étais heureux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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Lundi 13 septembre 1 13 /09 /Sep 11:33

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J'ai trouvé le moyen de partir de chez moi, un pretexte naturellement qui à mon travail (encore) d'attaché de presse. A heure dite j'étais devant l'immeuble.

La porte était fermé et j'ai attendu près d'une heure avant de voir un taxi s'immobiliser à l'angle Laurence en costume rayé, cheveux aux vents. Je me suis précipité pour prendre les deux valises. Madame remerçia d'un sourire le chauffeur qui lui rendit bien.

Immobile j'attendais devant la porte.

- Alors pas trop difficile de quitter le giron familiale...

- Non dis-je simplement.

J'ai laissé entrée Laurence alors que je posais dans l'entrée les deux valises.

- Tu désires que je te prépare un café.

Laurence me regarda en retirant ses gants de peaux. Petits sourires.

- Est-ce que j'ai besoin de te le demander ?

Je me suis sentis géné, à ma place.

Alors que je préparais le café, Laurence était au téléphone. Je n'avais jamais remarqué comme le costume masculin lui allait aussi bien, comment cette part de masculanité lui révélait un côté femme extrèment troublant.

Je revins en silence avec le café que je posais sur le bureau.

- Attends, une minute...

Laurence se retourna vers moi, la main sur le combiné.

- Provisoirement, j'aimerai que tu installes dans la cuisine de quoi faire le repassage...

Je comprenais le pourquoi des valises...

Je m'éxécutais alors que Laurence reprenait sa conversation.

- Je t'expliquerai... Je crois même que tu le connais (rire).

J'avais toujours cette appréhension en moi. Celle de ne pas être sur de mon choix. En silence pourtant j'organisais l'espace de la cuisine. Je devrais penser en valet. Homme soumis et à disposition de Laurence. Je sais que cela viendra doucement, me mettre moi-même en accord avec ma domesticité.

- Alain.

J'ai sursauté comme-ci je ne devrais pas être en mesure de répondre au claquement de doigt.

Laurence était debout, sur le pas de la porte.

- Ne pars pas tant que je ne serais pas revenue...

- Naturellement dis-je doucement.

Comment pouvait-il en être autrement. J'ai sur la table de la cuisine aménagé comme j'ai pu, un espace pour le repassage... Je me sentais gauche, maladroit, pas à ma place... Et pourtant. Oui le plaisir était là. Dans ce travail minutieux du repassage. Il y a là dans ces geste un rapport servile à la beauté du tissu, une reconnaissance de l'élégance. J'en suis surpris.

Ho, naturellement je débute, mais voilà, j'aime ce moment intime avec les affaires de Madame. Il y a chez moi un respect, celui de soumission à la valeur de ce que je repasse.

C'est un sentiment fort.

Je sais que ma soumission sera celle d'un domestique à sa Maîtresse et rien d'autre. Je me mets à rêver alors que je termine le repassage d'un pantalon en tergal (attention à bien nettoyer l'interieur des revers bas de pantalon pour qu'ils soient impeccable) a ma fonction et au service indipensable que je dois faire pour satisfaire madame. J'apprendrais la servitude comme seul élément de vie... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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Vendredi 10 septembre 5 10 /09 /Sep 13:40

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Au fond je me moquais de sarcasme de Christine. Peut-être même me faisaient-ils plaisirs dans ce besoin que j'avais à accepter par l'humiliation ma véritable identité.

Pouvait-on me respecté de la même façon ?

Je ne crois pas ! Mais je n'y penses pas dans le métro qui se dirige vers Alésia.

Est-ce si pitoyable de vouloir suivre le chemin de sa propre vie, de faire demi tour parce que l'on c'est aperçu que l'on s'était trompé ? Naturellement mon désir de soumission est là, ancré en moi et il me sert aujourd'hui à pouvoir devenir ce dont je rève.

Laurence riait au téléphone... A coudé sur le bureau donnant sur l'entrée. Elle portait une robe courte toute en élégance avec un collier de fines perles. Son trench Burberry plié sur la chaise... Cela ne faisait pas longtemps qu'elle était arrivée.

Machinalement (il y a comme cela des gestes que l'on fait et que l'on sait qu'ils font partie du service) je prend le trench que j'accroche...

- Je te laisse il est arrivée... Naturellement (tendrement), je t'embrasse.

On parlait de moi, mais je n'osais pas relevé. Ai-je à le faire ? Non. Il fallait que j'apprenne à rester à ma place. Laurence se leva, j'ouvris la porte de la salle de conférence.

- Nous y serons mieux...

Elle s'assia le dos au soleil, regarda un cours moment vers les vitres

- Avoue tout de même que des vitres propres cela en jette ?

Elle souria en me voyant debout.

- J'ai longuement réfléchi... Commença par dire Laurence... A notre "couple"...

J'ai frémi. J'avais peur.

- Au fait veux-tu t'asseoir ou rester debout ?

- Je préfère rester debout dis-je.

- C'est aussi comme cela que je l'entendais...

Nouveau silence. La robe courte de couleur bordeaux offrait au corps de Laurence la grace et l'élégance d'une femme bien née. Peut-être le savait-elle.

- Et toi as-tu pensé à moi ?

- Oui dis-je avec conviction.

Laurence éclata de rire. D'un rir joyeux.

- Je m'en doute bien dit-elle... Je parle de ta relation avec moi...

(silence)

- Oui dis-je enfin...

- Et alors ?

- Je crois que c'est possible...

Laurence se leva doucement, me regarda.

- C'est tout ?

Je bredouillait. Je me sentais pourtant à l'aise tout à lheure dans le bureau, lui parler enfin, lui dire ma soumission ce désire de soustraire ma vie actuelle à ma volonté réelle de devenir son simple valet.

Et puis rien, les mots me manques

- C'est à dire que...

- C'est que tu crois que je vais me contenter de cela ? Crois que que j'ai que ça à faire de de t'entendre bredouiller des phrases incompréhensible.

Debout, elle croisa les bras en regardant vers l'extérieur. La silhouette de Laurence dans le contre jour la magnifiait. Moi, je me sentais idiot de ne pas oser, de pas dire tout ce que je ressens.

- J'ai envie dis-je à nouveau de devenir ton valet.

Laurence se retourna

- Tu me l'a déjà avoué... Maintenant, il faut être concret dans l'affirmation dans ce que j'attends de toi...

- Oui dis-je...

Portable sonna, ce qui agaça Laurence. Elle regarda le numéro puis me dis.

- Sors, nous reprendrons notre conversation tout à l'heure... N'oublie pas de fermer la porte.

- Bien dis-je en bredouillant en me sentant pas à la hauteur.

- Oui, navrée... Alors, comment on fait pour Avignon...

J'allais refermer la porte. Laurence hella :

- Profite en pour me faire un café.

L'entretien téléphonique dura plus d'un quart d'heure. Et je ruminais en moi cette "méchante" expérience. Je trouvais que Laurence avait du mérite à vouloir continuer l'entretien. Il fallait que je prenne sur moi, montrer, au moins une fois mon désir d'être son valet.

Oui osé.

D'un signe de la main Laurence me donna l'autorisation d'entrée. Tasse, cuillière sur la secoupe etun petit bol de sucre que je posais près d'elle. A peine Laurence le remarqua-t-elle.

- Alors.... Comment vois-tu cette fonction auprès de moi ?

J'étais soulagé. Laurence n'avais pas coupé le fil. Je me sentais rassuré. Debout, instinctivement je me posissonais droit.

- C'est travailler pour toi...  Je crois que sait aussi te déchargé des toutes les tâches ménagères...

Laurence souria.

- C'est vrai que c'est important et puis...

- Etre disponible...

- C'est un minimum... Mais moi ce qui m'intéresse c'est pourquoi t'accepte de devenir mon domestique ? Parce que c'est cela la vrai question... Ensuite je déciderai si oui ou non je désire te voir me porter les valises...

Je sentais dans sa phrase un ton plus dur, il s'agissait un ultimatum.

En silence elle bu trois gorgé de café. Regarda sa montre et s'assia à nouveau en croisant les jambe que la mini robe mettait en valeur.

- Je veux te servir parce que.... parce que, c'est ma façon de t'offrir mon affection.

Laurence souria.

- Eh bien il en a fallu du temps...

Je me sentais soulager.

- Etre mon valet, c'est répondre à des critères que je mettrais en place !

- Oui dis-je

-Crois-tu que tu n'aurais pas pu me montrer autrement ton "affection" pour moi ?

- Je.. je... (j'ai rougi), tu es pour moi intouchacle.

Laurence me regarda.

- Intouchable... Comme une divinité ?

- Oui dis-je doucement... Je sentais que je tremblais.

- C'est un beau cadeau. Mais c'est d'un vrai domestique dont j'ai besoin.

J'avais envie de parlé. Laurence le sentait. Assise elle termina son café tout en me regardant. J'ai baissé les yeux.

- Je suis soumis...

- Soumis ?

- J'aime la soumission.

- Comme un maso ?

Mon silence était éloquant.

- Voilà qui est nouveau... Et crois-tu que cette soumission à mon égard te permettra de mieux me servir ?

- Oui dis-je...

Il y eu un long silence. Laurence regarda à nouveau sa montre.

- Comme n'importe quel employé de maison, je vais te proposé une semaine d'essai.

Avais-je le droit d'embrasser les pieds ? Je l'aurai fait.

- Je profiterai naturellement de ton désire de soumission... et de ta disponibilité. Elle doit être importante et primodriale...

- Oui dis-je la gorge serrée.

- Si je résume bien notre entretien "tu deviens mon valet parce que tu m'idéalises"... Sache Alain, que nous n'aurons aucuns rapports sexuels entre nous... (puis avec un petit sourire coquin), je ne dors pas avec mon personnel... De plus j'attends de toi bien autre chose que de laver trois couverts et de passer l'aspirateur... Puisque ta soumission t'a mené à moi, je désire que pour moi, mes invités, mes amis tu sois à la hauteur de ta servitude.

Tu as une semaine pour me prouver que notre conversation n'a pas été stérile.

- Oui dis-je simplement.

Laurence regarda sa montre puis pris son téléphone en me regardant.

- Va me chercher un taxi...

J'ai refermé sur moi la porte de la salle de réunion. Je me sentais léger, un poid en moins. Et pourtant le noeud au ventre, la peur de mal faire de ne pas réussir le challange.

Le taxi arriva cinq minutes après. Laurence sortait, habillée de son long trench Burberry.

- Nous revoyons demain à 16h00.

Je n'ai rien dit. Mais demain c'était samedi. Il fallait que je pense à cela, à libérer mes WE. Je n'irai pas demain à cette qu'un groupe d'ami avait préparer. A moi de trouver une excuse.

Je suis partie après avoir fait le ménage et rangé les tasses. Laurence n'avait plus besoin de me le dire puis que cela faisait partie de ma fonction.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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Vendredi 10 septembre 5 10 /09 /Sep 09:38

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Je ne sais pas comment annoncer mon plaisir masochiste de me soumettre à Laurence ? Peut-être s'en doute-elle ? Il est difficile d'avouer ainsi le besoin de vivre comme un subalterne. D'offrir comme seule preuve d'affection sa soumission.

Chez moi c'est quelque chose de profond, longtemps refoulé.

Il y a toujours un jour ou tout cela ressort, ou le non dit est trop fort. Ce jour là, c'est ma rencontre avec Laurence, et ce premier baiser chaud dans le couloir de la DGA.. Pouvais imaginer ce que cela allait générer ? Il faut savoir être ce que l'on est, oser briser l'image que l'on offre aux autres pour accepter d'être réellement, sans faux semblant ce que l'on désir devenir.

Une longue attente avant que doucement, en moi le venin du plaisir agisse. Celui d'honorer Laurence par mon abstinence sexuelle à son égard.

C'est, Laurence de part sa patience, puis sa tendre autorité à me remettre en place lorsque j'offrais ma dévotion à son égard sans qu'elle le demande, qui forgea cette identité domestique que je recherchais. Ce besoin d'être disponible même dans le silence, dans l'indiférence.

Je m'aperçois qu'en relisant "La Vénus de Fourrure" de Sacher Masoch, je suis très près de son personnage, Grégoire. De son affirmation selon laquelle on peut offrir en gage d'amour sa servitude comme seulepreuve. Devenir dévoué et silencieux. Endousser une tenue de valet pour offrir sa dévotion comme seul acte amoureux.

Il y a de cela en moi.

C'est pour cela qu'au fil des années j'ai suivit plusieurs stages hôteliers en ne pensant qu'à Laurence et qu'aujourd'hui, bientôt ma domesticité sera complète.

Mon masochisme vénère ma Maîtresse comme un être suppérieur, un touchable, mais pourtant bien humaine dans sa relation avec son valet.

Oui, je ne sais pas encore comment je vais avouer mon désire de soumission si ce n'est en acceptant pleinement ma servitude domestique comme raison d'être. En cela je rejoint Grégoire qui quitta tout pour suivre sa Maitresse qui le "dressa" pour en faire un serviteur exemplaire que même certains de ses invités voulurent le débocher. Naturellement Grégoire refusa, "n'est-on pas l'esclave que d'une seule Maîtresse" dit-il.

J'aime ce sentiment d'être aujourd'hui ainsi.

A attendre un appel de Laurence pour la retrouver dans son bureau de maison d'édition ou elle jongle entre Paris et Avignon ou elle désire s'installer.

Par Email, Laurence m'a promis que l'on aurait un rendez-vous pour parler de ma fonction de valet auprès d'elle. J'ai aujourd'hui pris mes disposition pour la satisfaire, qu'il n'y ai plus de problèmes entre ma vie privée, mon job d'attaché de presse et les demandes de Laurence.

Elles seront prioritaires sur tout.

Le téléphone du bureau sonna.

La voix de Laurence. Je me suis radoucis brusquement.

- Oui dis-je...

- Je peux te voir à 16H30 au bureau...

Christine entra à ce moment au bureau me regarda, sourire au lèvres.

- Tu es là ?

- Oui dis-je... Je serai là, naturellement.

- Parfait.

Laurence raccrocha.

Christine me regarda.

- Tu es pitoyable...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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Jeudi 9 septembre 4 09 /09 /Sep 14:05

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Il est tant de partir.

En ce début d'après-midi je dois être à l'ouverture de la grande teinturie de l'avenue du Maine pour aller chercher le costume de Laurence. Un costume croisé de couleur or/bronze en lourd satin.

En revenant de la boutique je traverse à pied jusqu'au croisement donnant dans la rue des bureaux de Laurence tenant sur le bras, parfaitement plier le tailleur pantalon.

Loprsque j'entre Laurence est au téléphone.

- Avignon !

Je pose sur un dossier de chaise le vètement. J'attends discrètement.

- Vous me dites que l'atelier d'écriture se fera à l'Hôtel Méridien...

Laurence se leva, une main dans la poche de son pantalon en cuir blanc puis se dirigea vers la salle de réunion. Je me suis esquissé. Laurence me regarda, posa sa main sur le combiné.

- Tu peux encore rester ?

- Oui dis-je, j'ai pris mon après-midi.

- Parfait.

Madame revient à son interlocuteur (sourire) alors qu'elle prénaitre dans la salle de conférence et d'un geste me demande de refermer la porte.

A travers la vitre de la porte, Laurence c'est assise tout en téléphonant; D'un geste très féminin elle remonta les manche de son pull angora.

Devais-je profité de se moment pour voir si je n'avais pas de travail. Si naturellement. En passant mon tablier blanc je me suis dirigé vers la petite cuisine ou trainait plusieurs tasses. Je les ai nettoyer. Ce sentiment de faire naturellement les choses me venaient petits à petits sans que Laurence ai à me les demandé. Cela me plaisait de me sentir ainsi utile à sa personne...

La porte s'ouvrit. Laurence sourire au lèvres posa son téléphone sur le bureau.

- Puisque tu es dans les poussières profites-en pour les vitres, je me suis aperçu que de la salle de réunion on ne voyait plus rien...

En silence je m'exécutais comme-ci il n'y avait rien d'autre dans ma vie.

Quelques instant plus tard alors que je faisais briller le carreau, la porte s'ouvrit en me faisant sursauté. Laurence souria.

- Je te fais peur à ce point...

J'ai souris en serrant les podruits de nettoyage entre les mains.

- Voici une adresse à Paris, c'est celle de ma soeur, tu y déposeras mon tailleurs quand tu auras fini.

J''aurai voulu parlé. Laurence s'en aperçu, s'approcha.

- Quelque chose ne vas pas.

J'ai posé sur la table mon necessaire de nettoyage et je pris la main de Laurence.

Elle fremissa. Doucement je déposais un baiser sur le dos de la main, léger.

- Merci dis-je d'un soufle.

Laurence me regarda.

- Merci ? De quoi !

- D'être ainsi près de toi.

- Et puis...

Laurence prenait son temps, croisa ses bras sur la poitrine...

- Je t'écoute...

- Je désire devenir ton valet.

Un long silence. Machinallement Laurence passa un doigt sur la table propre.

- C'est donc sérieux ?

J'ai baissé les yeux alors qu'elle regarda sa montre.

- Je dois partir... Je vais prévenir ma soeur que tu vas passer...

En silence je suivais Laurence pour aller dépendre le long manteau en cuir blanc coordonnée au pantalon. Je lui présentais en silence.

Laurence ne dis rien lorsque j'ouvris la porte.

- J'espère que maintenant je serai prioritaire sur le reste...

- Oui dis-je doucement.

Les deux mains dans les porte de son manteau de cuir ouvert, Laurence s'éloigna me laissant avec ma révélation. N'ai-je pas été un peu vite ? Et maintenant ? Je pensais à cela alors que je terminais de faire les vitres. Je m'engageais et je ne pouvais plus reculer.

Il en était mieux ainsi.

 

 

 

 

 

 

 

 

Par laorans
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